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Des fourmis dans les jambes ?
"C'est un luxe de disposer d'autant de jours de préparation car cela nous permet de nous régénérer mais personnellement, je trouve ça un peu long maintenant (sourire). On savait qu'on aurait du temps et on sent une certaine attente désormais. Le danger serait de tomber dans une forme d'ennui et de relâchement mental. Mais on est bien entouré avec des joueurs d'expérience, ils nous permettent de ne pas commettre des erreurs de rigueur et de rester concentrés sur chaque moment déterminant, sur le terrain ou lors des séances de vidéos."
Le premier vrai test
"Le défi est excitant car on s'apprête à jouer face à la meilleure équipe de l'hémisphère nord. Quand tu commences cette compétition, tu t'attends à affronter les meilleurs et maintenant on y est ! On a envie de tout donner. On souhaite s'exprimer pleinement sur le terrain."
Jonathan Sexton
"Il est la pièce maîtresse de cette équipe d'Irlande, il fait du bien dans les temps forts comme dans les temps faibles. C'est quelqu'un qui soulage ses coéquipiers, c'est assez impressionnant de voir comment il gère ses efforts pour marquer le maximum de points. C'est un très gros compétiteur et cela ne le dérange pas d'être chatouillé (sourire). Il a juste besoin que tout soit parfait dans sa propre équipe."
Pas de calcul en vue des quarts
"L'enjeu est de gagner tous les matches dans cette coupe du monde, peu importe l'équipe qui sera en face de nous. On ne veut pas calculer en vue des quarts de finale, on est arrivé à une période où il faut enchaîner les victoires pour se rassurer. La Nouvelle-Zélande n'est pas au-dessus de l'Argentine par rapport à ce que j'ai pu voir depuis le début de ce Mondial, dans l'engagement comme sur les phases statiques. Ce ne serait donc pas mieux d'affronter les Argentins plutôt que les Néo-Zélandais pour moi."